Nous sommes accueillis à Quito par notre ami Philippe et son amie Valeria. La ville de Quito et ses alentours recèlent de lieux à découvrir. Ce sera aussi notre point de base pour explorer les régions alentours: Otavalo au Nord, Santo Domingo à l’Ouest, la réserve Cuyabeno à l’Est et le lac de Quilotoa au Sud. Lisez la suite
Nous faisons trois semaines de volontariat dans la magnifique eco-hosteria Alandaluz sur la côte équatorienne, dans la région de Manabi. Les cabañas de bambous s’intègrent au milieu d’un jardin botanique comptant une cinquantaine d’espèces de palmiers différents.
L’hôtel comprend un restaurant de cuisine locale ainsi qu’une piscine en plus de la proximité de la plage.
Après six heures de bus, nous arrivons à Cuenca, troisième ville d’Equateur après Guayaquil et Quito. Cuenca est une jolie cité coloniale, tranquille, qui recèle d’églises, de rues pavées et de magnifiques balcons de bois travaillés. De chaque côté de la place d’armes se dressent deux cathédrales, la nouvelle et l’ancienne. Cette dernière était à la base une simple église modifiée en cathédrale car l’évêque n’avait pas assez de fond pour un nouvel édifice. Lisez la suite
Notre première halte en Equateur se fait à Vilcabamba, petit village perdu au milieu des montagnes, célèbre dans le pays pour la longévité de ses habitants. Climat agréable toute l’année, pureté de l’air et de l’eau, absence de stress en seraient les ingrédients principaux. Ici, il est courant de voir des nonagénaires partir au champ, la bêche et la machette sous le coude! Lisez la suite
Nous nous rendons dans la petite ville de Chachapoyas, perdue dans le Nord du pays en lisière de la jungle. Cette venue a un objectif : la visite des fameuses ruines de Kuelap. Cette forteresse a été bâtie par la civilisation Chachapoyas (de 500 à 1400 ans ap. JC), et domine les vallées alentours. Toutes les maisons de la forteresse sont construites en rond afin de résister aux tremblements de terre. Au centre des habitations de pierre, on trouve un trou dans lequel les familles enterraient leurs morts, ainsi qu’un petit canal servant à élever les cochons d’Inde (cochons d’Andes devrait-on dire), viande déjà appréciée à l’époque. Lisez la suite